L’aquaculture doit actuellement relever un défi capital: comment soulager la pression halieutique qui s’exerce sur les stocks et comment, dans le même temps, satisfaire l’augmentation de la demande en produits d’origine aquatique, le tout sans entraîner de problèmes environnementaux. Pour éviter tout impact potentiel sur l’environnement, il est important que le secteur aquacole dispose de lignes directrices claires, concises et dotées de fondements scientifiques, afin d’assurer le développement durable de cette activité.

Nos ambitions

Le fleuve Casamance avec 300 km constitue l’un des milieux favorable au développement de l’aquaculture. De l’eau en abondance, des étangs à l’état naturel, etc. sont des facteurs qui pourraient favoriser le développement de cette activité. Cependant, l’aquaculture tel qu’elle est faite dans les îles ne permet pas d’assurer une grande production, parce qu’elle est faite de façon saisonnière et traditionnelle voir rudimentaire. En effet, la culture de poisson se fait uniquement durant la saison des pluies et dans des mares ou étangs parfois mal aménagés. L’eau utilisée à cet effet est donc celle collecté pendant la pluie, ce qui fait que l’activité est abandonnée pendant la saison sèche.

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